La lumière tamisée du bureau de leur entreprise jouait sur les formes généreuses d’Élise, une MILF aux gros seins, écrasés sous le tissu transparent de son chemisier. Son patron la regardait s’avancer vers lui pour réviser un contrat, ses talons claquant sur le parquet comme des coups de fouet. Lorsque ses doigts effleurèrent les siens en signant, il sentit une chaleur qui irradia jusqu’à son sexe. « Merci d’être efficace », murmura-t-il, ses yeux plongeant dans l’éclat de ses seins sous la dentelle. Elle rougit sans se départir de sa tenue professionnelle.
Les jours suivants, leurs rapports devinrent un jeu. Il lui envoyait des messages vagues mais énigmatiques : « Tu as oublié un dossier… Viens le chercher », et elle accourait, les talons claquant dans le silence de son bureau vide. Un jour, il referma la porte en verre blindé, ses lèvres capturant les siennes tandis que ses doigts remontaient sous sa jupe. « Tu as un corps à exploser », souffla-t-il entre deux baisers, ses mains plongeant dans son string pour masser son clitoris.
La nuit tomba sans qu’ils aient quitté le bureau. Il la força à se mettre à quatre pattes, son sexe dur et gonflé pressé contre ses fesses rasées de près, lisse comme un fruit mûr. « Ouvre-toi », ordonna-t-il, avant d’enfoncer un doigt dans sa chatte, la friction de ses phalanges l’arrachant à une première vague de plaisir. Elle gémit quand il les écarta pour la baiser, son regard se perdant sur le cul rebondi et musclé, un spectacle de chair pulpeuse.
« Fais-moi une fellation, » exigea-t-il en la traînant vers lui. Sa langue trempée, ses lèvres entrouvertes engloutirent son sexe avec avidité, le recouvrant de salive et de frissons. « Plus vite », grommela-t-il entre deux coups de reins, sa main enserrant ses cheveux pour la guider jusqu’à ce qu’elle avale chaque jet de sperme, un spectacle pornographique qui l’électrisa.
Il la retourna avec violence pour s’enfoncer en elle par-derrière. « Vas-y doucement », supplia-t-elle quand ses hanches se mirent à cogner contre son cul avec une rage animale. Mais il voulait la punir de sa séduction, et le sexe plongea si profondément qu’elle crut mourir d’extase. « Tu aimes ? » rugit-il avant de sortir et d’introduire un doigt dans son cul, massant l’anus dilaté jusqu’à ce que la contraction des muscles lui arrache un râle.
Le lendemain, il la convoqua à nouveau sous prétexte de réunion. « Je te veux en permanence », grogna-t-il, ses dents mordant sa nuque tandis qu’il déchirait son string et plongeait deux doigts dans son vagin. Elle se cambra sous la pression quand il lui ouvrit les fesses avec une violence calculée pour l’humilier. « Regarde ta chatte… » Il la força à baisser les yeux sur ses propres lèvres gonflées, le sperme de la veille maculant son clitoris.
Il la prit debout face à lui, sa chatte écartelée et son cul écrasé contre un mur. « Plus fort », supplia-t-elle entre ses cris, les doigts de son patron enserrant son cou pour l’empêcher de s’échapper quand il se colla à elle, ses testicules cognant contre sa fesse. Elle gémit comme des vagues de sueur glissèrent sur leurs peaux, le parfum aillé de leur désir emplissant la pièce.
« Maintenant », rugit-il, et son sexe se ficha si profondément dans son cul que les muscles de sa chatte se contractèrent à en trembler. « Doucement…, » supplia-t-elle, mais il lui pinça le clitoris pour la forcer à jouir sous ses coups de reins.
Son sexe sortit pour s’enfoncer dans son vagin, écrasant son utérus. « Tu es à moi », rugit-il en éclatant avec une violence inouïe, son sperme lui arrachant un râle de jouissance. Elle tomba contre le mur, ses seins se balançant comme des pendules sous la pression d’un orgasme.
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