Delphine court, plus vite et encore plus vite. Elle s’approche du contrôleur, affichant son sourire éblouissant en même temps que son billet. En sautant par-dessus les bagages jetés, le contrôleur a un bref aperçu, quoique alléchant, des jambes bronzées et luisantes de Delphine, qui la conduisent à nouveau vers le train qui va bientôt partir.
Repoussant les cheveux humides de son visage rougi, Delphine tend la main vers la porte du dernier wagon, alors qu’à cet instant précis, le train se met en marche. Ses doigts s’agrippent à la poignée, puis glissent, et le visage de Delphine s’effondre. Elle réalise qu’une fois de plus, elle sera en retard pour Yvan, et qu’il la punira sans doute en lui infligeant une torture perverse ou en lui faisant subir un acte dégradant. À cette pensée, Delphine sent une accélération entre ses jambes, une humidité, non pas due à sa poursuite athlétique du train, mais à l’anticipation lascive et impatiente de leurs ébats érotiques bdsm à venir.
Soudain, un rayon de lumière brille dans ses yeux étincelants – la porte est ouverte, une main chercheuse, tendue vers elle… avec ses dernières réserves de force, Delphine force ses muscles fatigués et endoloris à une dernière poussée. Alors que le train prend de la vitesse, deux mains se rencontrent et Delphine est entraînée par l’autre dans le train.
Respirant bruyamment, essuyant la sueur de son visage rougi, Delphine reprend son souffle, inconsciente de l’effet que son apparence produit sur son sauveur potentiel.
Les yeux du steward parcourent le corps épuisé de Delphine, qui s’appuie contre la rambarde, temporairement essoufflée. Il remarque ses pieds, enfermés dans de petites chaussettes et sandales blanches “pop”. Son regard remonte le long de la chair exposée et luisante de ses mollets jusqu’aux trésors cachés de ses cuisses sous sa fine robe d’été en coton. Ses yeux voyagent le long de ses bras jusqu’à ses épaules et son cou. Au niveau du cou, il remarque une fine chaîne en argent qui s’enroule autour de sa poitrine palpitante, se nichant entre ses seins cachés qui s’agitent et cherchent de l’air. L’intendant regarde son visage, rougi et luisant de sa propre sueur, ses cheveux qui dépassent à peine ses épaules, d’un brun roux mort avec des racines blondes moussues, sont emmêlés sur son visage, tandis qu’il observe ses doigts délicats les brosser, mettant en valeur sa beauté. Pendant qu’elle est distraite, le steward boit son visage, ses yeux sont d’un gris charmant, avec de longs sourcils et des cils sexy.
Il sent ses reins s’agiter et s’empresse de détourner le regard, tout en imaginant mentalement qu’il va lui envoyer son sperme sur le visage. Embarrassé à présent, ses yeux parcourent son corps, s’abreuvant de sa beauté, se posant d’abord sur ses seins où il sursaute, le tissu fin de sa robe est imbibé du fruit de sa course contre la traîne, la sueur l’a rendue pratiquement transparente. Il cligne des yeux une fois, puis deux, afin d’imprimer à jamais l’image de ses seins nus et galbés, les mamelons s’efforçant de traverser le tissu fin qui leur sert de prison cruelle, comme deux chiots sous une couverture, pense-t-il avec ironie, les auréoles sont brun clair, surmontées de mamelons petits mais piquants, sans doute excités par ses efforts et le frottement contre la robe dû à sa poursuite du train. Toujours inconsciente de son état, Delphine essuie une autre perle de sueur sur son visage, sentant une autre perle chaude couler de sa nuque, passer entre ses épaules, descendre le long de son dos et s’infiltrer dans l’arrière de sa fine culotte de coton. Delphine frémit sous l’effet de cette sensation, ce qui fait bouger ses seins, une image dont l’intendant se délecte encore plus.
Le visage enflammé, l’intendant déplace ses yeux vers la taille de Delphine pour apercevoir ses cuisses entre les boutons de sa robe. Il est ensuite récompensé par un aperçu de la culotte blanche en coton de Delphine lorsque celle-ci se retourne et lui tend la main. Tout ce qui lui vient à l’esprit, c’est la chaleur, la douceur et la souplesse de sa peau. Il est immédiatement envahi par un désir presque primaire de la caresser, de la toucher, d’explorer chaque centimètre et chaque orifice de cette charmante créature qui lui tient maintenant la main, qui lui tient la MAIN !
Delphine, toujours inconsciente de la réaction de son corps sur le pauvre steward tousse, une fois puis deux, l’attention du steward est détournée de la pression de sa bite qui cherche à se libérer. En regardant à nouveau dans ces yeux alléchants, il reçoit le sourire de reconnaissance de Delphine, un sourire qu’il satisferait volontiers à tout pour le recevoir encore une fois.
Puis elle est partie, il observe ses fesses galbées alors qu’elle s’éloigne de lui dans l’allée, la robe en coton se moule à son cul comme une seconde peau, l’ombre de sa culotte blanche clairement visible sous la robe légèrement imprimée.
Delphine marche, ses jambes commencent à se contracter après sa course vers le train, devenant de plus en plus consciente de son apparence échevelée. Elle jette un coup d’œil par-dessus son épaule et remarque que le steward serviable la regarde toujours, elle lève un bras et fait un nouveau signe d’appréciation. Elle se retourne une fois de plus et se dépêche de chercher un wagon vide alors qu’à l’extérieur, les derniers rayons du soleil commencent à partir et que le crépuscule se hâte de rencontrer l’étreinte de la nuit.
La troisième voiture est enveloppée dans les ombres du soleil couchant, mais heureusement vide. En fermant la porte, Delphine s’assoit face à l’avant, à côté de la fenêtre, qu’elle tente d’ouvrir et réussit finalement à le faire. Alors qu’elle reprend enfin son souffle, Delphine glousse en pensant à la façon dont Yvan la gronderait pour son retard, à la façon dont elle se hérisserait de sa compréhension et de son pardon, tout en souhaitant secrètement sa “punition”, son esprit remontant à la dernière fois qu’elle l’a déçu……
…. où Yvan l’avait déshabillée et, ce faisant, l’avait explorée, l’avait taquinée avec ses doigts souples, aventureux et, oui, parfois torturants, en lui pinçant un sein, en lui tripotant un mamelon, en lui mettant un doigt dans le cul, en lui caressant le clitoris… et en la faisant se lever de façon à ce qu’elle ne puisse plus bouger. … puis la faire rester debout, les jambes écartées, poussant contre le mur, les seins frottant cruellement contre la maçonnerie nue, la fine poussière de mortier s’accumulant dans son pubis mat tandis que sa chatte fuit dans l’attente de sa punition à venir…… Puis la morsure du fouet contre ses cuisses nues, puis son cul lui-même, …la douleur…puis l’étrange frémissement, la réponse sensuelle de son propre corps qui la trahit…le silence alors que Yvan quitte la pièce….his retour…s’approchant de l’endroit où les cuisses et les fesses de Delphine frémissaient à la fois de choc et d’anticipation érotique. ….la nouvelle sensation d’une pâte froide étalée sur ses fesses, l’écrasement de la maçonnerie lorsqu’elle essaie de se tourner, une main se plaçant entre ses épaules, la morsure supplémentaire de la pierre grossière lorsque ses mamelons, désormais en forme de seins, raclent le mur. ….la sensation de sa main alors que ses jambes sont encore plus écartées….sa chatte entourée par les mains de Yvan, ses doigts inquisiteurs….les jambes de Delphine tremblent alors que son endroit le plus intime est cruellement exploré. Un puis deux doigts entrent en elle, taquinant les lèvres de sa chatte, caressant les parois internes de sa chatte…..le retrait de la main, le sentiment de déception et de vide… pour être remplacé par une langue humide et inquisitrice, qui lèche d’abord la pâte de ses fesses…. Elle laisse Delphine nerveusement tremblante alors qu’elle s’arrête temporairement près des lèvres de son petit anus, puis, alors qu’elle entend le premier son depuis le tourbillon du fouet, Yvan glousse en réponse à sa nervosité et abaisse son visage entre ses jambes palpitantes, qui luisent toutes deux de sa transpiration et de son propre sperme qui s’écoule d’entre ses cuisses. Yvan attrape une perle de son cyprine avec sa langue et la suit jusqu’à son origine, la chatte détrempée de Delphine. Là, il la dévore à pleines dents tandis que Delphine s’écrase contre le mur avec son corps luisant, dans des proportions égales de frustration et d’excitation….
Peut-être aurait-il mieux valu que je rate le train, pense Delphine !
Delphine regarde par la fenêtre la campagne qui s’assombrit et qui défile rapidement. Son esprit est toujours occupé par Yvan, des images de lui au-dessus d’elle, sa bite s’enfonçant en elle, bien gonflée grâce au cockring qu’il porte, ses jambes bloquées derrière lui, l’attirant plus près, plus profondément……..elle sent le doux grondement du wagon tiré par la locomotive….es sens maintenant accrus, à la fois par sa course vers le train et par les pensées de Yvan, Delphine sent autant qu’elle ressent la puissance de la locomotive, elle s’accorde à la douce pulsation de la locomotive… la sensation remonte à l’arrière de ses cuisses fatiguées, comme si elle massait la vie à nouveau dans ses membres mêmes. Sa chatte commence à palpiter tandis que le wagon se balance dans la campagne sombre. Assis dans le wagon ombragé, Delphine regarde la femme dans le reflet de la fenêtre ajuster sa position, deux ou trois boutons au bas de sa robe se sont défaits….sans doute parce qu’elle a couru vers le train, pense Delphine.
La femme attrape son petit sac à main jusqu’à présent ignoré, en sort un petit mouchoir blanc et commence à éponger son cou encore transpirant, puis sa poitrine, en jetant un coup d’œil vers le bas la dame remarque la transparence de sa robe, d’abord choquée, puis secrètement excitée, la femme défait un, deux, puis un troisième bouton, puis trace le contour de ses seins avec le mouchoir…ce faisant ses tétons se durcissent une fois de plus.
Dans l’obscurité qui est maintenant celle de la voiture, éclairée seulement par la pleine lune, Delphine observe la femme à la fenêtre qui continue à déboutonner sa robe de coton jusqu’à ce qu’une fine vallée de chair nue soit visible. La femme fait claquer les deux moitiés de la robe, se délectant de la brise froide du soir sur ses seins, ses tétons durcissent davantage, les délicats poils blonds de son ventre plat se dressent comme au garde-à-vous. En projetant des ombres sur ses seins, la robe pend mollement sur ses épaules… la dame à la fenêtre continue de déboutonner la robe, jusqu’à ce qu’il n’y ait soudain plus aucun bouton.
Toujours en train de regarder dehors, Delphine voit des mains qui ne peuvent être que les siennes ouvrir sa robe, dévoilant ainsi sa fine culotte blanche en coton. Profitant à nouveau de la brise rafraîchissante qui agresse ses cuisses, les doigts de Delphine tracent lentement le nom de Yvan sur la surface du tissu… au fur et à mesure qu’ils progressent, une fine traînée de son sperme apparaît, humidifiant encore plus sa culotte maintenant trempée.
Vaincue par les efforts de sa course, les pensées de son amant Yvan pompant sa semence chaude dans sa chatte, ou le contact excitant de l’air frais du soir sur une grande partie de sa chair exposée, Delphine commence à taquiner ses doigts autour du bord élastique de sa culotte maintenant détrempée. Avec son ongle, elle soulève un côté de sa culotte, se délectant de la sensation de l’air frais sur sa chatte emprisonnée, l’air chatouille et joue avec ses poils pubiens. En tirant encore plus fort, le tissu de coton s’étire et mord ses fesses, mais offre un accès facile à ses doigts curieux. Maintenant, elle tire brutalement sa culotte sur le côté et sa chatte est entièrement exposée. Avec une pratique bien rodée, Delphine commence à explorer son corps, ses tremblements n’ayant d’égal que ceux du train qui file à toute allure.
Après avoir caressé son pubis, Delphine passe un ongle solitaire autour des lèvres de sa chatte, provoquant des vagues d’anticipation des plaisirs à venir. Avec son deuxième doigt, elle maintient les lèvres de sa chatte ouvertes, un petit souffle s’échappe de sa bouche alors que l’air glacial pénètre dans son sanctuaire le plus intime, faisant trembler les parois mêmes de sa fente rose. La jeune soumise sexy insère ensuite son index dans sa chatte jusqu’à la jointure, ses muscles internes se contractent et saisissent son doigt, le serrant fermement comme s’il s’agissait d’une bite plongeante.
En traçant les parois internes avec son index, Delphine alterne les taquineries et les jeux avec son clitoris maintenant engorgé, qui est fièrement exposé à ses doigts. Ses doigts travaillent maintenant avec ardeur, tout en jetant un coup d’œil à la femme à la fenêtre, Delphine tremble, ses seins frémissent une fois de plus, à nouveau recouverts d’une fine pellicule de transpiration malgré le froid, ses mamelons durcissent encore (comme des rivets de cuirassé, pense Delphine), son ventre se soulève, ses jambes frémissent, Delphine urine sur sa main… ses cuisses se referment instinctivement, écrasant presque sa main qui reste enfoncée dans son sexe.
Delphine regarde à nouveau la femme dans le miroir, elle est maintenant un peu pâle, son bronzage d’été a disparu depuis longtemps, ses yeux sont vitreux, ses lèvres sont pleines et elle sourit, et oh quel beau sourire…….
Delphine frissonne, sa main toujours coincée entre ses cuisses frémissantes, sa main restante s’exerçant sur ses seins, sentant la douceur de sa peau, se délectant et taquinant chaque mamelon dur à tour de rôle. Delphine halète alors qu’elle est propulsée vers l’avant par une vague d’orgasme. Alors que ses cuisses relâchent leur emprise sur sa main, encore enfoncée dans son sexe, elle retire ses doigts et lève sa main humide vers son visage. Ses doigts sont saturés de son propre sperme, le liquide clair scintille au clair de lune qui tombe sur sa chair exposée à travers la fenêtre du train. La jeune soumise sexy porte ses doigts humides à sa bouche, alors que sa langue perce ses lèvres pour lécher ses doigts de la jointure à l’extrémité, elle goûte la vanille, une vanille douce. Elle étale le reste de l’humidité sur ses seins, sur son ventre plat jusqu’aux poils blonds de sa chatte, où ses doigts tracent à nouveau le contour de sa chatte qui se trouve à nouveau sous sa culotte blanche en coton qui n’est plus que transparente.
De sa taille, les yeux de Delphine suivent ses longues jambes sensuelles, ses cuisses, ses mollets, jusqu’à ses petites chaussettes ‘pop’, maintenant légèrement de travers mais toujours enfermées dans ses sandales. C’est ici, en regardant le sol dans une pièce pleine d’ombres, que ses yeux s’attachent à une chaussure en cuir italien hors de prix, et que ses oreilles, aiguisées peut-être par son état de grande excitation, s’accrochent à la respiration rauque de quelqu’un d’autre qu’elle-même.
Soudain assaillie par le doute, Delphine reste assise, parfaitement immobile. La silhouette assise dans l’ombre profonde bouge légèrement, comme pour s’ajuster dans une position plus confortable. La robe de coton ouverte sur le devant, son propre sperme dégoulinant de son menton et s’étalant sur ses seins et son ventre, Delphine reste assise, stupéfaite et, dans le même instant, ressentant une faim sexuelle brute en réalisant comment elle vient de se gratifier sans le savoir devant les yeux d’un parfait inconnu. Restant immobile, la lune jetant sa lumière lunaire sur sa poitrine maintenant frissonnante, Delphine s’assoit avec défi, défiant l’étranger de partir avec dégoût, d’être offensé par sa dépravation et sa lubricité
Mais l’étranger ne fait ni l’un ni l’autre. Le visage plongé dans l’ombre, Delphine n’a aucun doute sur le fait que son co-passager est un homme, alors que la lumière de la lune projette sa frêle lumière sur la taille de l’étranger, où Delphine ne peut que remarquer l’énorme bourrelet de sa braguette. Toujours enveloppé d’ombre, l’étranger traverse l’espace étroit jusqu’au siège de Delphine et s’assoit à ses côtés.
Nerveuse à présent, mais toujours très excitée par la tournure des événements, Delphine essaie de projeter une aura de non-intérêt poli tandis qu’elle regarde négligemment par la fenêtre, cherchant une fois de plus la femme qui s’y trouve. Des sentiments étranges et puissants traversent son corps, ses sens n’ont jamais été aussi aiguisés, son corps attend avec impatience le prochain chapitre de cette aventure inoubliable…….. une main effleure légèrement la cuisse de Delphine, juste en dessous de sa robe ouverte.
Delphine se raidit et regarde fixement la fenêtre tandis que des doigts légers et doux tracent des motifs à travers le clair de lune qui joue sur sa cuisse. Le pli de sa robe s’écarte et une main se pose délicatement sur son mamelon, lui-même protégé par la fine épaisseur de sa culotte encore humide. La main exerce une légère pression, le talon effectuant un lent mouvement circulaire, tandis qu’un doigt s’étend pour sonder l’obscurité plus profonde entre ses cuisses. Delphine soulève involontairement et instinctivement ses fesses pour permettre au doigt de s’enfoncer encore plus loin.
Alors que la main continue à exercer son métier sensuel au-dessus de sa culotte, qui est elle-même au-dessus de son sexe, Delphine frissonne encore plus lorsque sa robe est encore plus écartée, exposant maintenant complètement ses seins aux yeux de l’étranger. La jeune soumise sexy frissonne lorsque, sans crier gare, son sein droit est assailli par une bouche humide et curieuse. Son mamelon, déjà bien malmené, est à nouveau taquiné et manipulé, mais cette fois par une bouche et une langue inconnues. Delphine grimace légèrement lorsque l’inconnu fait jouer ses dents, puis se détend un peu lorsque le visage de l’inconnu se déplace plus loin sur son sein, Delphine sent et ressent la bouche de l’inconnu s’ouvrir et s’étirer encore plus, comme pour manger son sein tout entier !
Toujours fascinée par le clair de lune, Delphine sent maintenant deux mains autour de sa taille, l’une d’elles glisse plus au sud, trouvant prise derrière ses genoux, l’autre remonte le long de son dos. En un instant, avec un petit cri d’alarme, Delphine est prise dans l’étreinte de l’étranger et soulevée… mais elle n’est emportée que dans les ombres d’où l’étranger est venu.
Maintenant totalement sous l’emprise de l’étranger, Delphine se laisse allonger sur le siège de la voiture, mais le visage vers le bas ! Elle laisse ses bras se lever, sa fine robe de coton passer par-dessus ses bras et être enlevée. Paradoxalement, l’étranger lui permet de garder ses chaussettes et ses sandales. Sinon, Delphine n’est plus vêtue que de sa culotte. Elle est seule avec un inconnu, dans une chaussée sombre, à bord d’un train qui file à toute allure dans l’outback australien, au cœur de la nuit. Une main s’attaque à la fine corde de sa culotte au niveau de la taille.
Alors qu’une autre main se glisse sous sa couche, Delphine se retrouve soulevée et son dernier vêtement, sa précieuse culotte en coton blanc, est tirée sur ses fesses, ses cuisses, ses mollets et ses pieds encore chaussés de sandales. En regardant par-dessus son épaule, Delphine essaie de découvrir le visage de l’étranger, mais à part la lumière de la lune qui joue sur ses fesses et ses cuisses nues, tout ce qu’elle peut voir, c’est une forme sombre et non descriptive. Une forme d’ombre qui lui écarte maintenant les jambes.
Soudain effrayée, Delphine commence à douter d’elle-même, elle n’arrive pas à croire qu’elle s’est laissée manipuler si facilement dans cette position, pour se faire baiser par un inconnu dans l’obscurité ! Elle essaie de se lever, mais retombe sur le siège rembourré lorsque la main, maintenant libérée des restrictions de sa culotte, cherche et trouve les plis de sa chatte une fois de plus. Le seul geste qui reste à Delphine est de soupirer et de s’abandonner à l’instant présent.
En frottant son sexe sur la main de l’étranger, Delphine est à nouveau assaillie par les doutes lorsque la main est brutalement et rapidement retirée, pour être aussi rapidement remplacée par quelque chose d’autre. La jeune soumise sexy ne peut que sentir la bite dure de l’étranger sonder les plis humides de sa chatte, cherchant et taquinant en même temps l’entrée de sa féminité. Une main se faufile sous ses seins, sur son ventre, et soulève Delphine à genoux. Dans le même mouvement, Delphine sent la bite dure de l’étranger trouver et bouger doucement en elle. Le bras de l’inconnu, qui tient Delphine par le ventre, attire Delphine vers lui, l’incrustant encore plus dans sa virilité. Maintenant qu’elle est entièrement en elle, l’étranger se retire partiellement, puis se déplace lentement vers l’avant, attirant à nouveau Delphine sur sa bite.
Dans l’obscurité, toute seule, Delphine se retrouve encastrée dans la bite d’un inconnu.
L’inconnu continue son action de pompage, enfonçant sa bite en elle, construisant un rythme puissant alors qu’il pilonne le cul détrempé et malmené de Delphine. Les doigts de l’inconnu glissent sur ses seins, liant cruellement les seins de Delphine à sa poitrine.
En la baisant, l’étranger tend sa main libre vers l’avant, taquinant et jouant avec ses cheveux mous, qui, comme après sa course effrénée pour attraper le train, sont à nouveau inondés de sa sueur. Attrapant ses cheveux, l’inconnu la ramène violemment vers lui, l’enfonçant davantage dans sa queue tout en ramenant la tête de Delphine vers l’arrière, de sorte que la lumière de la lune tombe en cascade sur son visage, accentuant sa beauté et le froncement de sourcils qui commence à se dessiner sur son beau visage, alors qu’un nouvel orgasme commence à naître en elle. Reconnaissant l’état presque orgasmique de la femme, l’étranger accélère le rythme, enfonçant sa bite dure comme le fer en elle, martelant sa chair.
Delphine commence à gémir, puis à pleurer lentement en réalisant que quelqu’un d’autre que son Yvan va jouir en elle, là où elle s’est maintenue pure, pour Yvan, mais son corps l’a presque abandonnée alors qu’elle s’enfonce instinctivement de plus en plus fort dans la bite de l’étranger.
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